domingo, 27 de agosto de 2017

le silence qui parle

Le silence parle,
donc il ne dit rien de mots vides,
mais des mots choquants...
donc je sais que le silence parle, qu’il parle beaucoup,
Il y a, pour ça, dans leurs mots de voix pensées,
une maison plainne de chaînes des voix
qui me parlent avec une tonalité haute, basse, aiguë et grave,
mais ne se dit rien de mot vide, mais choquant,
de ce façon toutes ces voix sont fantômes présents,
d’aujourd’hui, et de passés récent et trés distants...
Ils ne se réssentent de me montrer leurs faces,
Ils ne se réssentent rien de dire ce que se doit être dit
Il n’y a pas dans leurs actes quelques réserves
pour me mettre dans les situations impolies,
toutes ces voix sont capables de me blesser
profondáment dans le plus profond de moi-même,
toutes ces voix me regardent avec des yeux qui m’épient
et me jugent tout le temps...
Jusqu’à dans ma chambre à coucher
je n’ai pas nulle réserve pour me cacher de ces voix sans mots vides,
Il n’y a pas de voix sans parole dans cette maison
parce qu’il y a les silences,
Il n’y a pas de voix muettes
parce qu’il y a les silences dans cette maison
où toutes les voix parlent,
toutes le voix ont leurs chantes,
de même manière que chantent les eaux courantes de rivières
et qui passent sous les ponts...
C’est une eau qui ne s’acheve jamais...
Le fil du destin n’a pas été cassé encor...
Je me regarde dans ces noeuds de voix
en cherchant pour se mettre à faire quelque situation déchirante,
mais las larmes que glissent sur ma face
apportent miroitée dans elles mêmes
les echos de voix inachevées
je veux me sortir de moi-même
mais je ne peux pas,
ces fantômes de voix me dévisagent
le champ de bataille est prêt
et je suis prêt à luter avec leurs mots, mais plus forts de significations
et leurs tonalités sont três forts aussi,
ma conscience
elle est brave aussi
ele veux risister à ces provocations,
elle est três brave comme un sanglier
je bataille, je lute une lute inachevante
tout le temps,
resister, pourtant, c'est comme découvrir les secrets au sujet de moi-même...

(...)

Wildman Cestari