Le silence
parle,
donc il ne
dit rien de mots vides,
mais des mots choquants...
mais des mots choquants...
donc je sais
que le silence parle, qu’il parle beaucoup,
Il y a, pour
ça, dans leurs mots de voix pensées,
une maison
plainne de chaînes des voix
qui me
parlent avec une tonalité haute, basse, aiguë et grave,
mais ne se
dit rien de mot vide, mais choquant,
de ce façon toutes ces voix sont fantômes présents,
de ce façon toutes ces voix sont fantômes présents,
d’aujourd’hui,
et de passés récent et trés distants...
Ils ne se
réssentent de me montrer leurs faces,
Ils ne se
réssentent rien de dire ce que se doit être dit
Il n’y a pas
dans leurs actes quelques réserves
pour me
mettre dans les situations impolies,
toutes ces
voix sont capables de me blesser
profondáment
dans le plus profond de moi-même,
toutes ces
voix me regardent avec des yeux qui m’épient
et me jugent
tout le temps...
Jusqu’à dans
ma chambre à coucher
je n’ai pas
nulle réserve pour me cacher de ces voix sans mots vides,
Il n’y a pas
de voix sans parole dans cette maison
parce qu’il y
a les silences,
Il n’y a pas
de voix muettes
parce qu’il
y a les silences dans cette maison
où toutes les
voix parlent,
toutes le
voix ont leurs chantes,
de même
manière que chantent les eaux courantes de rivières
et qui passent
sous les ponts...
C’est une
eau qui ne s’acheve jamais...
Le fil du
destin n’a pas été cassé encor...
Je me
regarde dans ces noeuds de voix
en cherchant
pour se mettre à faire quelque situation déchirante,
mais las
larmes que glissent sur ma face
apportent
miroitée dans elles mêmes
les echos de
voix inachevées
je veux me
sortir de moi-même
mais je ne
peux pas,
ces fantômes
de voix me dévisagent
le champ de
bataille est prêt
et je suis
prêt à luter avec leurs mots, mais plus forts de significations
et leurs tonalités sont três forts aussi,
ma
conscience
elle est
brave aussi
ele veux
risister à ces provocations,
elle est
três brave comme un sanglier
je bataille,
je lute une lute inachevante
tout le
temps,
resister, pourtant, c'est comme découvrir les secrets au sujet de moi-même...
(...)
Wildman Cestari